L’agence européenne des forces de l’ordre a accumulé plus de quatre pétaoctets de données sans y faire de tri. Le gendarme européen de la protection des données personnelles a donc tapé du poing sur la table.
L’agence européenne des forces de l’ordre a accumulé plus de quatre pétaoctets de données sans y faire de tri. Le gendarme européen de la protection des données personnelles a donc tapé du poing sur la table.