La présidence tente de montrer que tout est sous contrôle dans l’affaire d’espionnage Pegasus, même si l’on ignore toujours si l’un des smartphones d’Emmanuel Macron a été effectivement infecté pour le surveiller.
La présidence tente de montrer que tout est sous contrôle dans l’affaire d’espionnage Pegasus, même si l’on ignore toujours si l’un des smartphones d’Emmanuel Macron a été effectivement infecté pour le surveiller.